Avant le coup d’envoi de la CAN Féminine Maroc 2022 le 2 juillet prochain, Kanizat Ibrahim, présidente de la commission d’organisation de la compétition et 5e vice-présidente de la CAF, a évoqué les grands enjeux de ce tournoi.
Pour la première édition de la CAN Féminine à 12 équipes, 4 sélections vont découvrir le grand bain. Outre le Togo, il y a le Burkina Faso, le Burundi et le Botswana. Pour la présidente de la commission d’organisation, ces formations pourraient vendre chèrement leur peau et tenter de bousculer la hiérarchie même si elles sont des novices à cette étape de la compétition.
« Il y a de nouvelles équipes en embuscade qui participent à l’événement pour la première fois. Elles auront donc à cœur de supprimer la hiérarchie. Il s’agira de marquer les esprits. La CAN est le second plus gros événement organisé par la CAF. Ce sont les meilleures joueuses du continent qui y participent. La crème de la crème. La motivation sera donc double, sachant que les 4 demi-finalistes vont décrocher chacune une place pour la Coupe du monde de la FIFA 2023. On s’attend à un spectacle de haut niveau en juillet prochain« , a-t-elle déclaré dans un podcast de la CAF.
Pour leur première participation, les Eperviers Dames sont logés dans le Groupe B avec les Lionnes Indomptables du Cameroun, les Copper Queens de la Zambie et les Aigles de Carthage la Tunisie.
L’intégralité de l’interview :
John ATTISSO